Un soupçon de concordance entre une trace ADN relevée sur les scellés dans l’enquête sur le meurtre de Ghislaine Marchal en 1991 et une empreinte génétique enregistrée au fichier national maintient le suspense sur l’identification d’un éventuel suspect. Un nouvel élément qui innocenterait Omar Raddad, le jardinier condamné qui ne cesse de clamer son innocence.
http://www.lci.fr/societe/affaire-omar-raddad-25-ans-apres-une-trace-adn-relance-les-soupcons-2008874.html